La décision de la banque centrale égyptienne de ne plus contrôler le taux de change de la livre égyptienne a incité les assureurs à repenser leurs programmes de réassurance. Plusieurs comités techniques ont été mis en place par la fédération des assurances afin d’étudier l’impact du flottement de la devise.
Plusieurs options ont été examinées, entre autres celles d’accroître les capacités des programmes de réassurance ou d’augmenter le capital afin de faire face à la hausse possible des indemnisations.
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