Chute des marchés financiers: menace la plus importante pour les villes africaines

Avec l’urbanisation rapide du continent, plus de 50% de la population africaine vivra en ville d’ici l’année 2030. L’impact des catastrophes naturelles, des sinistres résultant de l’activité humaine et du rush sur les villes a été évalué par des experts.

C’est ainsi que les Lloyd’s et l’Université de Cambridge se sont associés pour calculer un index mesurant les effets économiques de 18 de ces événements sur 301 villes dans le monde sur une période de 10 ans.

Cette mesure est exprimée en pourcentage du PIB. L’étude montre que les crashs financiers arrivent en tête des menaces pour les villes africaines. Ils leur coûteraient 38,1 milliards USD de pertes économiques d’ici à 2025.

En seconde et troisième positions nous retrouvons respectivement les risques de défaillance d’un émetteur souverain (33,9 milliards USD) et le risque de pandémie (32,9 milliards USD). Le terrorisme et les séismes arrivent loin derrière avec des coûts respectifs de 10,6 milliards USD et 8,7 milliards USD.

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