Première constatation: la bonne santé récemment recouvrée permet au secteur de l'assurance de recruter, mais pas n'importe quels profils. Ont la faveur des DRH: les actuaires, les spécialistes en: management de risques, gestion prévisionnelle, relation-client, communication, systèmes d'information... c'est à dire des profils pointus, adaptés aux nouvelles exigences du marché et à l'évolution de la profession.
Deuxième constatation: cet optimisme ne doit pas nous faire oublier la logique des marchés financiers et des actionnaires dont le maître mot reste: rentabilité. Pour y parvenir, les compagnies n'hésiteront pas à utiliser l'arme des plans de restructuration.
En fait, le marché qui est de plus en plus exigeant en termes de compétences, s'inscrit durablement dans un contexte de flexibilité de l'emploi, pour ne pas dire de précarité.