Afin de lutter contre la pauvreté dans les campagnes, les banques sont priées d’accepter les polices de micro-assurance en contrepartie des crédits alloués aux agriculteurs. L’institut "Kilimo Salama Agriculture Initiative" milite pour que les banques revoient leurs procédures et acceptent ce type de police. Cette mesure permettrait de faire face à la pénurie de produits financiers autorisés en contrepartie de l’attribution de microcrédits.
La micro-assurance [4] cible les personnes à faibles revenus, c’est-à-dire ceux compris entre 1 et 4 USD par jour. Peu d’assureurs commercialisent des couvertures de micro-assurance. Les taxes appliquées sont jugées trop élevées et semblent constituer un frein pour les agriculteurs qui disposent de peu de ressources.