 © Steve Jurvetson [4], CC BY 2.0 [5] |
Ces véhicules, capables de se mouvoir sans chauffeur, ont pour objectif d’éliminer l'erreur humaine du poste de conduite, réduisant ainsi la probabilité d’accident au plus bas.
Trois assureurs américains (Cincinnati Financial Corp., Mercury General Corp. et Travelers Cos.) auraient ainsi mentionné dans leur rapport annuel le risque induit par ces technologies sur leurs affaires.
L'institut d'assurance pour la sécurité routière [6] se veut toutefois rassurant. L’organisme américain estime, à ce titre, par la voix de son porte-parole Russ Rader, que «cela prendra un moment pour que de nouvelles fonctionnalités de sécurité puissent pénétrer la flotte qui est sur la route, car les gens gardent leurs voitures le plus longtemps possible»., précisant que «Même quand une fonctionnalité est rendue obligatoire par le règlement fédéral, cela prend environ 30 ans pour pénétrer 95% du parc automobile actuel».
Ces premières prises de position interviennent alors que plusieurs constructeurs automobiles et sociétés technologiques dont Google et Apple convoiteraient ce nouvel eldorado.