Siège du FMI, Washington DC |
Ces derniers investissent massivement dans des obligations d’Etat jugées sûres mais dont les rendements ne dépassent pas 1%.
Or les contrats d’assurance vie des particuliers bénéficient de taux supérieurs. Ce décalage alarme d’autant plus le FMI qu’il semble s’inscrire dans la durée.
L’institution internationale annonce que 24% des sociétés d’assurance vie ne seraient pas en mesure de respecter les exigences de solvabilité si ce scénario perdure.
D’un autre côté, une hausse des taux obligerait les assureurs à céder ces obligations à perte. Elle provoquerait également une fuite des épargnants vers d’autres produits financiers concurrents.