Seth Terkper, ministre des finances du Ghana, recommande aux sociétés d’assurance locales de distribuer des produits d’assurance vie et non vie innovants. Le taux de pénétration de l’assurance dans le PIB n’excède pas 2%, chiffre trop faible pour soutenir l’activité économique.
S. Terkper encourage la mise sur le marché de couvertures dans le domaine de la santé, de la micro-assurance [4] et de l’agriculture, afin d’aider la population à sortir de la pauvreté et de promouvoir le développement des petites et moyennes entreprises.
Une industrie de l’assurance robuste permettrait à moyen terme de fournir une source alternative de capitaux aux PME.