Le monde sera non seulement confronté à de nouveaux risques mais devra également gérer des niveaux de risques inédits. La globalisation et l’effet domino obligeront les assureurs à faire face à l’augmentation de la fréquence, de la sévérité et de l’impact des événements.
Pour les experts des Nations Unies, moins de 1% des montants des sinistres climatiques sont assurés dans les pays développés. Les Syndicats des Lloyd’s ont annoncé, début décembre, avoir porté la capacité allouée aux risques catastrophes naturelles à 400 millions USD.