Les récents chiffres dévoilés par le comité des affréteurs kenyans font état de charges supplémentaires atteignant 2 milliards KES (27,2 millions USD) par mois depuis 18 mois. Ces surcoûts sont dus aux actes de piraterie maritime [4].
Les sociétés de transport maritime font passer une partie de ces charges aux importateurs/exportateurs locaux. C'est le cas des frais additionnels occasionnés par le rallongement des routes de navigation.
L'augmentation des coûts de transport a un impact négatif sur les économies de la région. Parmi les hausses figurent également celles des primes d'assurance qui ont doublé en 18 mois.