En Algérie, l’assurance contre les effets des catastrophes naturelles est obligatoire depuis 2003. Cependant, et en dépit du risque élevé de tremblements de terre, d’inondations et de grêle, cette garantie ne participe qu'à 4,3% du chiffre d’affaires de l’assurance dommages en 2018.
Au premier semestre 2019, la part de l’assurance catastrophes naturelles passe à 5,4% du total des primes dommages. L’assurance agricole rencontre aussi des difficultés à prospérer. Pourtant, l’agriculture est l’un des secteurs économiques très sensibles aux aléas climatiques. En 2018, le chiffre d’affaires de cette activité régresse de 5,8% par rapport à 2017.