Selon le parquet de Paris, les entreprises françaises ont tendance à payer des rançons lorsqu’elles subissent des cyberattaques [4].
Certains assureurs sont accusés d’encourager leurs assurés à payer les rançons réclamées par les cybercriminels.
Selon les experts, l’assureur préfère payer plusieurs millions d’euros pour la rançon que plusieurs dizaines de millions d’euros de préjudices provoqués par la perte de données.