Le groupe SCOR [4] s’attend à des résultats fortement impactés par la guerre en Ukraine au premier semestre 2022. A noter, la hausse significative des sinistres potentiels liés au conflit pour les traités de réassurance et les branches de spécialité.
S’ajoutent à la sinistralité du conflit russo-ukrainien [5], les pertes liées aux catastrophes naturelles (inondations en Australie, tempêtes en Europe, sécheresse au Brésil) et à la poursuite de la pandémie aux Etats-Unis.
Pour rappel, SCOR PO, filiale russe du groupe français, a cessé de souscrire de nouvelles affaires.