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Fev 2012 Le renouvellement du 1er janvier a montré que les réassureurs tentent de mieux contrôler leur exposition aux catastrophes afin de réduire les sinistres «surprises». L’année qui vient de s’achever est la deuxième année la plus chère de l’histoire de l’assurance. Certains réassureurs se demandent si la diversification des risques est favorable puisqu’elle implique des contraintes de capacité et l’exposition à des sinistres «surprises» pouvant survenir de territoires peu ou pas modélisés. En réponse à ces interrogations, d’importants efforts ont été déployés pour obtenir une transparence des données lors des renouvellements. Certains réassureurs ont préféré réduire leur exposition à travers le monde.