Selon Amara Latrous, Président Directeur de la Société d’Assurance Algérienne (SAA), la branche automobile qui représente 65% du chiffre d’affaires est structurellement déficitaire en raison, notamment, d’un niveau élevé de la sinistralité, d’une tarification inadaptée et de la lenteur des procédures d’indemnisation. Les statistiques officielles font état de près de 4 000 décès par an et le déséquilibre entre charges des compagnies et primes est estimé à 40%.