L’adoption en 2009 d’un système économique à plusieurs devises a pénalisé le marché des assurances. Afin d’améliorer le taux de pénétration, l’institut des assurances zimbabwéen (IIZ), préconise des innovations. Une des solutions avancées concerne le secteur informel à l’écart du système financier traditionnel.
Selon Chomi Makina, le président de l’IIZ, les sociétés d’assurance ont tout intérêt à imiter certains marchés voisins en s’orientant vers la micro-assurance [4] et en commercialisant leurs polices au sein des communautés rurales. Depuis début janvier, de timides tentatives en ce sens émanent des compagnies locales.
Dans les branches traditionnelles, la concurrence reste acharnée alors que des problèmes importants de liquidités minent l’industrie de l’assurance.