Le marché des grands risques français est resté soft lors du renouvellement du 1er janvier. La baisse des prix et l’assouplissement des conditions ont été observés de toutes parts.
Les branches dommages aux biens, responsabilité civile et transport étaient plus particulièrement concernées par cette tendance baissière. La faible sinistralité conjuguée à l’abondance de l’offre d’assurance sont responsables de cette situation.
Les entreprises rationnalisent leurs dépenses durant les périodes de crise économique [4], y compris celles dédiées à l’assurance.
Les divers acteurs pensent néanmoins être proches du point bas du cycle.
Certaines sociétés d’assurance essaient dorénavant d’offrir plus de services à leurs assurés tout en maintenant les tarifs. Une plus grande attention est portée au rapport qualité-prix.