Deuxième avancée significative, le développement des bases de données qui autorise la collecte de millions d’informations en un temps record. Les risques sont ainsi mieux cernés et intégrés dans des populations de plus en plus larges.
Troisième étape, les objets connectés. Tous ou presque tous les risques seront progressivement connectés à des plateformes numériques. Les tarifications se feront en temps réel.
A l’aide de capteurs, voitures, maisons, entreprises, administrations et même les particuliers munis de bracelets électroniques seront gérés à distance par les assureurs en temps réel, 24h/24h.
Enfin, dans le futur les compagnies d’assurance, elles mêmes seront virtuelles. Les assureurs virtuels feront de l’assemblage d’activités qu’ils auront au préalable sous-traitées.
Ce modèle de science-fiction mettra quelques années pour émerger. Le temps pour les assureurs d’évaluer la situation, de soupeser les risques de rupture er d’investir massivement dans l’innovation. L’enjeu pour eux est crucial car rien ne semble pouvoir arrêter cette révolution qui bouleversera profondément le secteur.