Les entreprises, ménages et particuliers auraient déboursé 38,1 milliards KES (349,1 millions USD) pour des couvertures d’assurance inexistantes.
Les courtiers, agents et banques n’auraient pas transféré aux assureurs les primes correspondant aux risques supposés couverts. Selon la réglementation kényane, un assuré ne peut être indemnisé d’un sinistre que si la prime d’assurance est perçue par l’assureur.Lire aussi | Les résultats des assureurs kenyans affectés par la pandémie [4]